L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Juin est le Mois national de l’histoire autochtone au Canada, et cette année, les membres de l’IPFPC de tout le pays sont mobilisés pour le changement.

En tant que professionnel·le·s de la fonction publique canadienne, il est important de reconnaître que le Canada est habité par des peuples autochtones depuis des milliers d’années. Nous participons activement à la réconciliation avec les communautés des Premières nations, des Inuits et des Métis. Et nous explorerons les problèmes auxquels sont confrontés les peuples autochtones au travail dans un webinaire révélateur.

Cette année, nous faisons un travail de conscience face aux terres que nous occupons, en signe de respect pour les peuples autochtones. Nous allons découvrir les traditions, les langues et l’art indigènes.

Voici 5 raisons qui nous motivent à prendre part à la réconciliation :

  1. Selon les critères de vitalité des langues établis par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), au moins 87 langues autochtones au Canada sont en danger de disparition. Le gouvernement doit intervenir pour soutenir les projets de revitalisation des langues autochtones.
  2. Le gouvernement fédéral s’était engagé à lever les avis concernant l’eau potable dans les réserves des Premières nations d’ici 2021, mais il reporte maintenant cette date à 2026. Vu qu’il est essentiel d’avoir de l’eau potable, ce retard est inacceptable, tant pour les parlementaires que pour les leaders autochtones.
  3. Les Inuits du Nunavut souffrent du grave sous-financement de la Société d’habitation du Nunavut. Le logement est un droit de la personne, et le gouvernement doit intervenir pour résoudre cette crise de la santé et du logement.
  4. La discrimination systémique est encore très répandue dans le système de police de notre pays, car les Autochtones risquent 10 fois plus d’être abattus par un policier que les Blancs. Nous avons tous un rôle à jouer pour mettre fin au racisme systémique.
  5. Les recommandations du rapport de la Commission de vérité et réconciliation ne sont toujours pas entièrement mises en œuvre.

Cinq raisons de s’inspirer du militantisme des leaders communautaires autochtones :

  1. L’Association nationale des centres d’amitié élargit la gamme de ses services en créant des centres communautaires pour les peuples autochtones du monde entier.
  2. Les Centres d’accès aux services de santé pour les Autochtones proposent des soins de santé traditionnels dans tout le pays.
  3. La reconnaissance des territoires se fait de plus en plus couramment. Il ne faut pas oublier que les colons ont déplacé les communautés autochtones pour construire nos villes et nos villages et que nous pouvons nous racheter auprès d’elles.
  4. Le Canada a finalement présenté ses excuses aux communautés inuites pour avoir réinstallé de force des communautés inuites, séparé des familles et imposé l’abattage des chiens de traîneau aux Inuits entre 1950 et 1975.
  5. La mode arctique défile sur les podiums de New York et de Paris et attire l’attention sur les communautés autochtones du Nord.

Passez à l’action!

 

Webinaire                      Reconnaissance des territoires

S’INSCRIRE AU WEBINAIRE                                                    RECONNAISSANCE DES TERRITOIRES

Inscrivez-vous au webinaire du 29 juin avec                                           Local love
la sénatrice Kim Pate et Mocassin Joe                                                    ACPPU                                       
                                                                                                                 

Événements des communautés autochtones                      Centres d'amitié

ÉVÉNEMENTS DES COMMUNAUTÉS AUTOCHTONES        CENTRES D’AMITIÉ

Québec : Pow Wow de Kahnawake (en anglais seulement)                   Association nationale des centres d’amitié

               Pow Wow de Gesgapegiag (en anglais seulement)                Centre Wabano

Ontario : Pow Wow de Wikwemikong                                                     Montréal Autochtone

Nunavut : Compétition de danse carrée de Rankin Inlet 

National: Journée des autochtones en direct                   

                                                                                                    

 

Le 13 mai 2021, Debi Daviau, présidente de l’Institut, a comparu devant le Comité du Sénat sur les affaires sociales pour commenter la façon dont les changements apportés au projet de loi C-30 — Loi d’exécution du budget de 2021 — peuvent contribuer à éliminer les obstacles qui nuisent aux groupes en quête d’équité dans la fonction publique fédérale.

Nous sommes d’avis que les changements proposés représentent une amélioration par rapport à l’actuelle Loi sur l’emploi dans la fonction publique, car ils favorisent la reconnaissance des effets des préjugés et des obstacles sur la sélection et la promotion des candidates et des candidats issus de groupes en quête d’équité.

À la fin janvier, nous avons participé à une consultation du Comité d’équité en matière d’emploi du Conseil national mixte sur cette question, où nous avons exposé plusieurs préoccupations :

  • Nous n’avons pas beaucoup confiance à l’endroit des processus fédéraux de dotation en personnel.
  • La délégation de pouvoirs de dotation aux gestionnaires locaux a compromis l’équité, la diversité et l’inclusion de nos membres.
  • Le système dresse les employé·e·s les un·e·s contre les autres.
  • Nos membres sont frustrés par la manière dont les postes sont pourvus et dont les promotions sont accordées.
  • Il arrive souvent que des candidat·e·s soient préférés à d’autres parce qu’on dit que ces personnes « cadrent » mieux avec le poste, même si elles sont moins qualifiées.
  • Les nominations intérimaires sont faites et prolongées sans aucune justification par des processus non annoncés.

Il est urgent de créer des lieux de travail fédéraux qui reflètent véritablement la population canadienne et ses valeurs. La représentation des groupes en quête d’équité dans les milieux de travail fédéraux ne peut s’améliorer dans le contexte actuel. Il ne faut plus se contenter d’apporter des solutions de fortune à ce problème critique.

Si vous êtes une femme (cisgenre et transgenre) ou une personne bispirituelle ou non binaire faisant partie d’un groupe ou d’une classification scientifique, nous vous invitons à poser votre candidature pour participer à l’atelier LFS. Nous nous réjouissons de votre intérêt et de votre participation à l’atelier! Toutes les réponses sont strictement confidentielles. Veuillez soumettre votre candidature au plus tard le 14 juin 2021.

En raison du format et des objectifs de l’atelier, les places sont limitées. Le groupe de travail et le comité de planification de l’atelier virtuel LFS sélectionneront les participantes en fonction des critères suivants :

  • L’intérêt et une passion pour la promotion de l’équité en science publique
  • La qualité de la candidature (par exemple, vous avez un microprojet ou une question dont vous aimeriez parler ou traiter à l’atelier)
  • Les objectifs de représentation (par exemple, région, ministère, classification, diversité des expériences et des identités).

Les membres civils de la GRC appartenant à la classification du personnel informatique (CP) s’inquiètent avec raison des retards prévus concernant le versement de la paye rétroactive. La GRC insiste sur le fait qu’il faudra jusqu’à 180 jours pour verser la paye rétroactive, car c’est le délai prévu pour les membres de l’administration publique centrale du groupe CS. Cette position est injustifiable, car l’IPFPC n’a jamais accepté ce délai plus long au nom des membres de la GRC.

La présidente Debi Daviau a écrit à la commissaire de la GRC, Brenda Lucki, afin de lui demander de faire accélérer le traitement des payes rétroactives afin de respecter l’échéance de 90 jours suivant la date de signature de la convention collective. Malheureusement, la réponse de la commissaire de la GRC est loin d’être satisfaisante à tous les égards (en anglais seulement).

LIRE LA RÉPONSE DE LA COMMISSAIRE LUCKI

Même si les membres civils de la GRC ne sont pas assujettis aux conditions de la convention collective CS, la commissaire s’appuie sur une entente CS pour doubler la durée de la période de mise en œuvre de la paye rétroactive découlant des augmentations. Cette période peut donc durer jusqu’à 180 jours. Même si nous considérons cette attente déraisonnable, surtout que les professionnel·le·s de la fonction publique CS ont été payés 500 $ de plus pour cette période de mise en œuvre prolongée, nous avons vérifié que la Loi sur la GRC ne prévoit aucun recours légal permettant de renvoyer cette question à un arbitrage indépendant.

Même si nos membres doivent attendre pour recevoir leur paye rétroactive bien méritée, soyez assurée qu’une fois intégrés dans la fonction publique, les membres civils bénéficieront de la pleine protection des conventions collectives et des lois modernes du travail. Nous sommes pressés d’avoir la possibilité de lancer des procédures indépendantes de règlement des griefs pour contester ce genre d’abus et protéger les droits de nos membres civils.  

Le 10 mai 2021, la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau, a comparu devant le Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires (OGGO) de la Chambre des communes pour discuter des mesures prises par le gouvernement pour faire face aux effets de la pandémie sur ses employés.

Depuis le début de la pandémie, des dizaines de milliers de nos membres dévoués ont continué à servir fidèlement les Canadiens. Aujourd’hui, un petit nombre d’entre eux travaillent toujours à leur lieu de travail habituel pour fournir des services essentiels, alors que près de 90 % de nos membres travaillent à domicile.

Globalement, nous sommes plutôt satisfaits de la façon dont le gouvernement a géré les effets de la crise sanitaire sur ses employés. Certains problèmes ont été constatés, entre autres lorsque des ministères ou même des gestionnaires locaux ont mal interprété ou tout simplement ignoré les directives du Conseil du Trésor. Des disparités dans la mise en œuvre des protocoles de sécurité et en matière de télétravail ont aussi été rapportées. Dans l’ensemble, nous donnons toutefois au gouvernement une note de passage pour le moment.

Cela dit, les conventions collectives existantes doivent être modifiées ou ajustées pour que les gestionnaires de la fonction publique puissent se montrer flexibles avec les employés tout en respectant nos ententes. L’utilisation d’« autres congés payés » (code 699), l’obligation d’adaptation et les dispositions relatives aux heures de travail sont des exemples d’enjeux qui doivent être revus en fonction de la pandémie.

À ce stade-ci, nous sommes surtout préoccupés par l’adaptation à la nouvelle réalité du travail et par la nécessité de donner aux employés le choix de travailler à domicile ou dans un bureau, qu’il s’agisse d’un emplacement satellite ou de leur lieu de travail habituel.

Cela implique que l’employeur accorde une attention particulière aux bureaux à domicile et au télétravail ainsi qu’un profond changement dans la culture de travail de la fonction publique. Compte tenu des répercussions très graves de la pandémie sur la santé mentale et l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée, l’employeur doit aussi développer de nouveaux outils pour assurer le bien-être des employés de la fonction publique. 

Le Conseil du Trésor ainsi que les différents ministères et organismes doivent absolument continuer de consulter les syndicats et de collaborer étroitement avec eux pour atteindre chacun de ces objectifs. Les mesures gouvernementales de lutte contre la pandémie et le traitement des travailleurs fédéraux ont été louables jusqu’à présent — n’y changeons rien maintenant.

Le 6 mai 2021, Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, et Ryan Campbell, économiste de l’IPFPC, ont témoigné devant le Comité permanent des finances de la Chambre des communes (FINA) au sujet des initiatives de lutte contre l’évasion fiscale de l’Agence du revenu du Canada (ARC).

Les règles doivent s’appliquer à tout le monde, mais malheureusement beaucoup de sociétés et de gens fortunés cherchent à mettre leur fortune à l’abri de l’impôt, dans des paradis fiscaux où les règles fiscales ne s’appliquent pas. Lorsque quelques personnes privilégiées obtiennent des réductions d’impôt, les gouvernements perdent des revenus pour les services publics, ce qui entraîne des réductions de services ou des hausses d’impôt pour le reste des contribuables.

En 2012, l’ARC a subi des compressions budgétaires draconiennes.  Même avec les récents réinvestissements du gouvernement, l’ARC ne dispose toujours pas de tous les outils, de la formation et du personnel dont elle a besoin pour faire son travail. 

Il faut y remédier immédiatement. Plus que jamais, le Canada a besoin de ces dizaines de milliards de dollars en recettes fiscales, à tout le moins, cachés dans des paradis fiscaux à l’étranger. Nous devons :

  • mieux appliquer les lois fiscales en vigueur;
  • empêcher l’ingérence politique à l’ARC;
  • mieux protéger les lanceurs d’alerte;
  • embaucher plus de conseillers techniques et investir dans la technologie et la formation;
  • accroître la capacité des bureaux régionaux de l’ARC.

Il faut également entreprendre certaines réformes politiques.

Dans son budget 2021, le gouvernement a annoncé des initiatives qui permettront d’agir concrètement en faveur de l’équité fiscale. Elles comprennent notamment une taxe sur les services numériques d’entreprises comme Netflix et Amazon et la création d’un registre des propriétés bénéficiaires accessible au public.

Ces deux initiatives importantes sont préconisées depuis longtemps par les membres de l’IPFPC et nos alliés de la société civile. 

Même si ces changements sont bienvenus, nous avons encore du travail à faire. Le directeur parlementaire du budget estime que les paradis fiscaux font perdre chaque année jusqu’à 25 milliards de dollars de recettes fiscales provenant des sociétés. Il faut en faire plus pour mettre fin à la fixation du prix de transfert et au transfert de bénéfices qui facilite cette pratique destructrice. À l’heure actuelle, certaines mesures progressives sont en place, mais plusieurs autres mesures pourraient également être adoptées. On obtiendrait une vision nouvelle et simplifiée du monde commercial mondial – un monde dans lequel on pourrait empêcher les sociétés de dresser les pays les uns contre les autres et les forcer à payer des impôts équitables partout.

Dans l’ensemble, nos professionnels de l’ARC doivent recevoir la formation, les outils et les ressources nécessaires à leur travail. L’ARC a besoin d’être suffisamment financée pour assurer l’application équitable des lois et des obligations fiscales aux entreprises et aux particuliers les plus fortunés et puissants et les obliger à rendre des comptes comme tout le monde au Canada. La coopération internationale et la réforme des lois sont également de mise pour que les Canadien·ne·s qui s’ingénient le plus à éviter l’impôt finissent par payer leur juste part.

Une nouvelle initiative de l’IPFPC aidera nos membres à comprendre l’évolution des emplois et à atteindre leurs objectifs professionnels.

Cette initiative a été rendue possible grâce aux généreuses contributions du Centre des Compétences futures (CCF), un organisme indépendant financé par le gouvernement qui a pour mission d’aider les Canadien·ne·s à acquérir les compétences nécessaires à l’avancement de leur carrière dans un marché du travail en constante évolution.

Les membres de l’IPFPC sont des professionnel·le·s ambitieux et responsables qui veulent prendre les devants sur les changements technologiques et socioéconomiques. Selon un récent sondage auprès des membres, 7 membres sur 10 souhaitent des mesures concrètes et proactives pour faire progresser leur carrière.

Cette nouvelle initiative de l’IPFPC donnera accès aux membres à des études et à de l’information objectives sur l’avenir de leur carrière. Il leur sera recommandé des formations pertinentes et accessibles qui les aideront à devancer l’évolution de leur emploi.

L’IPFPC aidera également ses membres à demander des fonds à l’employeur et à trouver des possibilités d’avancement pour faire progresser leurs aspirations professionnelles.

Le CCF est toujours à la recherche de projets innovants qui mettent à l’épreuve et évaluent de nouveaux moyens d’anticiper l’évolution du marché du travail et de doter les travailleurs et travailleuses des compétences nécessaires à leur secteur d’activité. La contribution financière du CCF démontre la pertinence de la proposition de l’IPFPC.

Le Conseil d’administration de l’IPFPC a approuvé cette initiative ainsi que le partenariat avec le CCF.

Après le vote des déléguées et délégués pour reporter la 101e assemblée générale annuelle de l’IPFPC, le Conseil d’administration a annoncé qu’une deuxième séance aura lieu le 5 juin 2021.

L’ordre du jour, les motions et la liste des déléguées et délégués de la séance initiale demeureront inchangés pour cette deuxième séance.

Nous mettrons à la disposition des personnes participantes une vidéo sur les procédures à suivre pendant l’assemblée avant la reprise. Nous inviterons également les déléguées et délégués à une séance d’information le 2 juin 2021 sur l’utilisation de Lumi, le logiciel de vote et d’intervention des participants; ils auront aussi l’occasion de tester leur nom d’utilisateur et leur mot de passe, et de poser toute autre question. De nouveaux noms d’utilisateur et mots de passe seront attribués pour accéder à Lumi.

S’il n’y a pas assez de temps pour tout terminer le 5 juin, l’assemblée se poursuivra le 6 juin. Réservez la date!

N’oubliez pas que vous pouvez consulter l’ordre du jour, les motions, les rapports des administrateurs et plus encore sur le site Web de l’AGA ou sur l’appli de l’AGA pour iOS ou Android.

Après trois ans de tergiversations, le Conseil du Trésor a finalement accepté de discuter des changements à apporter au Régime de soins de santé de la fonction publique (RSSFP). Le RSSFP n’a pas fait l’objet d’un examen exhaustif depuis 2006.

En collaboration avec d’autres syndicats et des représentants des retraités, nous avons présenté notre proposition à l’employeur. Nos recommandations, résumées ci-dessous, sont fondées sur les suggestions que vous avez fournies au fil des ans ainsi que sur un sondage mené auprès des membres en 2018. 

  • Encourager la santé et le bien-être grâce à une bonne conception et à des soins médicaux fondés sur des données probantes
    • Augmenter la couverture pour les déplacements et les professionnels de la santé de façon à ce qu’elle corresponde aux besoins courants en matière de traitement
    • Inclure les ergothérapeutes et les nutritionnistes
    • Élargir la couverture des services de psychologues de façon à inclure les conseillers, travailleurs sociaux, sexologues et psychothérapeutes agréés
  • Offrir une couverture complète de soins aux membres qui se trouvent dans des situations difficiles
    • Élargir la couverture des soins hospitaliers et des soins infirmiers privés et instaurer des soins de réadaptation et de convalescence
    • Élargir la couverture des produits durables (prothèses auditives, injecteurs d’insuline, VPPC, fauteuils roulants, etc.) et l’indemnité de réparation spécialisée 
    • Proposer le cannabis médical dans les cas où son usage est étayé par des preuves cliniques
    • Accroître la couverture pour divers produits et traitements médicaux
  • Innover en mettant au point des outils numériques, des partenariats industriels, de nouvelles technologies et des soins préventifs
    • Réduire le plafond des frais à payer pour les médicaments
    • Tirer parti de la taille du régime pour obtenir des prix préférentiels pour certains services et produits médicaux (tels que les lentilles cornéennes) et les médicaments d’entretien)
    • Supprimer l’obligation d’obtenir une ordonnance pour accéder aux services de certains praticiens et à des traitements d’acupuncture afin d’encourager les soins proactifs et préventifs
  • Adopter une vision à long terme fondée sur des soins de santé durables, efficaces et abordables qui offrent une valeur optimale aux membres actuels, aux membres retraités et à toute la population canadienne
    • Généraliser la facturation directe afin de réduire les coûts pour les membres du régime et les coûts administratifs
    • Adopter des mesures d’optimisation des ordonnances afin de réduire les paiements aux pharmacies sans incidence sur ce qu’il en coûte aux membres
    • Intégrer les meilleures pratiques administratives pour réduire considérablement les coûts administratifs et les coûts des médicaments sans compromettre l’expérience des membres

Le RSSFP est un régime de soins de santé offert par l’employeur aux employés actuels et retraités de la fonction publique fédérale et à leur famille. Tous les cinq ans, le Conseil du Trésor procède à un examen du Régime. Les avantages accordés aux fonctionnaires ne sont pas négociables en vertu de la loi; c’est pourquoi l’IPFPC et ses partenaires jouent un rôle consultatif actif dans le cadre de cet examen en faisant part de vos suggestions et de vos préoccupations.