Candidat au poste de Directeur·trice, Région de la Capitale Nationale – Matthew MacLeod

Les points de vue exprimés dans cette note biographique sont ceux du candidat et ne représentent pas nécessairement ceux de l’IPFPC.

Je crois posséder la bonne combinaison de compétences interpersonnelles et en relations du travail, en finances et en sciences pour bien vous servir en tant que membre du Conseil d’administration de l’IPFPC.

Au cours des six dernières années à titre de président du groupe RE (Recherche), j’ai eu le plaisir d’encadrer le Comité exécutif pendant une période où nous avons mis de côté les derniers vestiges de conflit entre les composantes du Groupe et travaillé avec d’autres groupes à l’atteinte d’importants objectifs communs comme l’enchâssement de l’intégrité scientifique et le droit de parole dans nos conventions collectives.

À titre de délégué syndical, j’ai aidé les membres à obtenir des résultats individuels grâce à la procédure de règlement des griefs du Conseil national mixte, et collectifs au moyen de consultations avec la haute direction à tant au niveau local que national. Je suis particulièrement fier du rôle que j’ai joué dans la rédaction du modèle de Politique sur l’intégrité scientifique, fruit de délicates discussions entre l’IPFPC, le Conseil du Trésor et le Bureau du conseiller scientifique principal, et dont le succès était loin d’être garanti.

En tant que cadre et président du Groupe, j’ai toujours exercé une surveillance financière responsable de la façon dont vos cotisations sont dépensées. Dans le cadre de mon travail au gouvernement, j’ai occupé le poste de gestionnaire de projet responsable d’une initiative pluriannuelle de plusieurs millions de dollars qui a permis de réunir les contributions de chercheurs, d’ingénieurs et de spécialistes des systèmes informatiques de partout au pays. 

Bien qu’être membre du Conseil d’administration n’implique pas forcément de pratiquer la science ni la recherche, je crois que la présence d’administrateurs capables de bien communiquer l’importance des initiatives des gouvernements fédéral et provinciaux dans ces domaines est essentiel au succès à long terme de notre organisation et de ses membres. Les organismes de recherche gouvernementaux n’emploient pas seulement des scientifiques et des chercheurs – ils demandent aussi des spécialistes des systèmes informatiques pour construire les réseaux et entretenir le matériel à haut rendement, des ingénieurs pour concevoir et gérer des projets novateurs, et des spécialistes du commerce et des achats pour planifier et administrer des ententes de collaboration complexes. Si les gouvernements laissent la recherche être menée principalement par le milieu universitaire et l’industrie, sans conserver de solides capacités internes, de nombreux emplois de grande qualité de l’IPFPC disparaîtront. Sans compter la perte pour les Canadiens d’une expertise interne de grande qualité pour répondre à certaines de nos préoccupations les plus pressantes, des pandémies aux changements climatiques en passant par les menaces à la sécurité nationale.

Enfin, en tant que représentant des premiers milléniaux, je crois être en mesure de bien communiquer avec les membres de tous les âges afin de diriger l’IPFPC dans la période de changement générationnel que nous connaissons. Je suis impatient d’être au service de tous nos membres.

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