75e CRA - Rapport du chapitre de St. Andrews

25 et 26 mai 2018

Réunions de l’Exécutif

29 novembre 2017 : Discussion des plans de l’AGA

Date de l’assemblée générale                

2 novembre 2017

Réunion conjointe avec le sous-groupe SP

13 membres étaient présents.

Il y a eu des élections pour pourvoir les postes de présidents et vice-présidents de l’exécutif du Chapitre et du groupe SP (mandats de 2 ans). Il reste un an au mandat des secrétaires-trésoriers.

Activités sociales et activités de mobilisation des membres

On prévoit organiser une salle d’évasion familiale à Saint John au début de l’été.

Dîners d’information

Le 9 janvier 2018, il y a eu un dîner d’information ayant pour thème Ce que le syndicat fait pour vous. Il y avait quelque 38 personnes présentes. Nous sommes censés prendre part à un dîner d’information sur les pensions quand Kim Skanes pourra s’en occuper. Un troisième dîner d’information est prévu le 25 avril; il aura pour thème Fini Phénix.

 Préoccupations

Système d’avancement professionnel et de promotion pour les biologistes : La plupart des biologistes ont fait des études supérieures et sont très intelligents et motivés. Cependant, la classification de leur emploi repose sur un système qui ne permet qu’une seule option : acquérir de l’expérience à leur poste actuel puis passer à un échelon supérieur mieux payé et comportant plus de responsabilités. Les programmes s’essoufflent quand les biologistes s’en vont, car ceux qui les remplacent doivent souvent être formés et plusieurs années peuvent s’écouler avant que le programme fonctionne aussi efficacement qu’avant. De plus, quand une nouvelle recrue en science n’ayant pas beaucoup d’expérience accède à un poste supérieur à un biologiste plus expérimenté, cela cause du cynisme, de la colère, un sentiment d’injustice et le refus de croire que l’employeur se soucie des employés et a à cœur leur perfectionnement personnel et professionnel. Nous devons changer le système de promotion des biologistes et valoriser leur expérience. Ils doivent avoir la possibilité d’avancer au poste qu’ils occupent et de continuer à contribuer au programme auquel ils travaillent. Le sentiment d’appartenance et la participation à un projet font naître la passion et le dévouement pour la recherche. Les biologistes doivent encore être capables de changer de programme, mais ils ne devraient pas rester coincés. Il faut les traiter comme des professionnels, leur permettre de se perfectionner et bien les payer pour le faire. Il pourrait y avoir un plafond, mais il devrait dépendre d’eux et non d’un système qui a été conçu pour des travailleurs d’usine. Malheureusement, cette question a fait l’objet de discussions l’an dernier et refait maintenant surface, car elle a gagné en pertinence par suite de la nouvelle embauche. La plupart de nos nouveaux employés n’ont pas les connaissances ou la formation nécessaire pour occuper le poste, mais ils avaient de bonnes raisons de superviser ceux qui ont plusieurs années d’ancienneté et d’expérience. Il semble que le gouvernement actuel souhaite faire en sorte que de jeunes employés soient promus sans détenir les connaissances requises et que nous réalisions son objectif d’atteindre un ratio hommes/femmes de 50 %, quelles que soient leurs compétences et leur expérience.